Le 17 août ...
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Le 17 août ...
17 août 1571
Marco Antonio Bragadin est capturé, torturé et écorché vif.
Le trophée macabre, avec les têtes du général Alvise Martinengo, de Gianantonio Querini et du châtelain Andrea Bragadin est hissé sur la hampe de la galère du commandant turc Mehmed pacha Sokolović et conduit à Istanbul.
Marco Antonio Bragadin est capturé, torturé et écorché vif.
Le trophée macabre, avec les têtes du général Alvise Martinengo, de Gianantonio Querini et du châtelain Andrea Bragadin est hissé sur la hampe de la galère du commandant turc Mehmed pacha Sokolović et conduit à Istanbul.
Patriciaa494- Messages : 364
Date d'inscription : 27/10/2012
Age : 45
Localisation : Rhône-Alpes
Re: Le 17 août ...
17 août 1916
Funérailles de l'Aviateur Français Jean Roulier
Les obsèques de jeune officier, l'enseigne de vaisseau Jean Roulier, ont été célébrées ce jour-là.
Ce fut, sous une radieuse matinée d'été, la plus émouvante des cérémonies. Toute la garnison de Venise, l'amiral à sa tête, avait voulu témoigner sa gratitude à l'officier qui avait été cité, l'an dernier, dans le communiqué officiel, pour avoir lancé à très faible altitude des bomber: sur un sous-marin autrichien. Et chacun pensait, dans cette union douloureuse et fraternelle des armées alliées, à Bruno Garibaldi, tombé dans l'Argonne.
A l'hôpital de la Marine, les marins italiens et les marins français de l'aviation maritime, les soldats de l'escadrille de terre formaient la haie jusqu'à la chapelle ardente. Le cercueil était recouvert des deux drapeaux tricolores et la croix de guerre du jeune officier était piquée sur le drapeau français. Après les prières religieuses, l'amiral et plusieurs officiers supérieurs des services aéronautiques firent avec émotion l'éloge de l'enseigne de vaisseau Jean Roulier, mort au champ d'honneur, et ils assurèrent ses camarades français de leur profonde sympathie. Gabriele d'Annunzio, en uniforme de lieutenant de lanciers, avec ses insignes d'aviateur, prononça ensuite un émouvant discours:
"Il ne convient pas d'avoir des paroles de douleur ni de verser des larmes sur ce jeune allié qui eut le sort dont il était digne, la fin dont il se rendait chaque jour plus digne en l'attendant d'un cœur intrépide.
Dans sa dernière lettre écrite en une heure de pressentiment qui, pour les héros, n'est pas un nuage de tristesse, mais une lucide acceptation, il ne souhaitait à ses compagnons que d'avoir une belle mort. Il savait que la belle mort est le couronnement suprême du combattant et que nul autre prix, nul autre honneur ne la vaut, pas même une vie utile. Il l'a obtenue comme il la songeait: très haute. Il est mort, en plein jour; il est tombé sur la mer comme dans la lumière... "
Funérailles de l'Aviateur Français Jean Roulier
Les obsèques de jeune officier, l'enseigne de vaisseau Jean Roulier, ont été célébrées ce jour-là.
Ce fut, sous une radieuse matinée d'été, la plus émouvante des cérémonies. Toute la garnison de Venise, l'amiral à sa tête, avait voulu témoigner sa gratitude à l'officier qui avait été cité, l'an dernier, dans le communiqué officiel, pour avoir lancé à très faible altitude des bomber: sur un sous-marin autrichien. Et chacun pensait, dans cette union douloureuse et fraternelle des armées alliées, à Bruno Garibaldi, tombé dans l'Argonne.
A l'hôpital de la Marine, les marins italiens et les marins français de l'aviation maritime, les soldats de l'escadrille de terre formaient la haie jusqu'à la chapelle ardente. Le cercueil était recouvert des deux drapeaux tricolores et la croix de guerre du jeune officier était piquée sur le drapeau français. Après les prières religieuses, l'amiral et plusieurs officiers supérieurs des services aéronautiques firent avec émotion l'éloge de l'enseigne de vaisseau Jean Roulier, mort au champ d'honneur, et ils assurèrent ses camarades français de leur profonde sympathie. Gabriele d'Annunzio, en uniforme de lieutenant de lanciers, avec ses insignes d'aviateur, prononça ensuite un émouvant discours:
"Il ne convient pas d'avoir des paroles de douleur ni de verser des larmes sur ce jeune allié qui eut le sort dont il était digne, la fin dont il se rendait chaque jour plus digne en l'attendant d'un cœur intrépide.
Dans sa dernière lettre écrite en une heure de pressentiment qui, pour les héros, n'est pas un nuage de tristesse, mais une lucide acceptation, il ne souhaitait à ses compagnons que d'avoir une belle mort. Il savait que la belle mort est le couronnement suprême du combattant et que nul autre prix, nul autre honneur ne la vaut, pas même une vie utile. Il l'a obtenue comme il la songeait: très haute. Il est mort, en plein jour; il est tombé sur la mer comme dans la lumière... "
Martine 1968- Messages : 434
Date d'inscription : 31/10/2012
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Re: Le 17 août ...
17 Août 1849
Suite à l'incendie de la Scoletta di san Geremia, deux pompiers (Vigili del fuoco) sont tués: Novello Gaetano et Sedin Domenico.
Suite à l'incendie de la Scoletta di san Geremia, deux pompiers (Vigili del fuoco) sont tués: Novello Gaetano et Sedin Domenico.
Patriciaa494- Messages : 364
Date d'inscription : 27/10/2012
Age : 45
Localisation : Rhône-Alpes
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