Le 23 janvier
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Le 23 janvier
23 janvier 1785
Mort à San Michiel de Muran du moine camaldule Dom Anselmo Costadoni
Dom Anselmo Costadoni était le fils d'un riche marchand, né à Venise le 6 octobre 1714, et baptisé comme Giovani Domenico. Il a sacrifié un possible destin fait de richesses en ce bas monde pour prendre l'habit des moines Camaldules au monastère de San Michiel. Il y étudia la philosophie et la théologie. Dès l'âge de vingt-trois ans, il a révélé son talent littéraire dans une lettre (Lettera critica) écrite pour défendre les écrivains camaldules qui avaient été mis en cause par Giusto Fontarini dans son « Library of Italian Eloquence ».
Puis, Dom Costadoni a collaboré pendant dix-huit ans avec Dom Giam Benedetto Mittaerlli, un savant qui a publié, au monastère « Annales Camaldulenses ordinis S. Benedicti, ab anno 907 ad annum 1770 » imprimé in-olia en 9 volumes, à Venise, de 1755 à 1773.
Certains de ses écrits relatifs à l'archéologie chrétienne, comprenant « Dissertazione sopra il pesce como simbole degli antichi christiani » ont été publiées dans la volumineuse collection d'essais historiques éditée par Calogerà, un autre éminent moine camaldule.
Les autres travaux considérés comme remarquables, de Dom Anselmo Costadoni sont « Avvisi ed istruzioni pratiche intorno ai principali doveri de' regolari » « Lettere consolatorie » et « Lettere sopra questione teologiche ».
Des manuscrits inédits furent transférés, sur ordre de Fra Mauro Cappelari (futur pape Grégoire XVI) au monastère de Saint-Grégoire, à Rome, après la mort de Dom Costadoni, le 23 janvier 1785, à Venise.
Mort à San Michiel de Muran du moine camaldule Dom Anselmo Costadoni
Dom Anselmo Costadoni était le fils d'un riche marchand, né à Venise le 6 octobre 1714, et baptisé comme Giovani Domenico. Il a sacrifié un possible destin fait de richesses en ce bas monde pour prendre l'habit des moines Camaldules au monastère de San Michiel. Il y étudia la philosophie et la théologie. Dès l'âge de vingt-trois ans, il a révélé son talent littéraire dans une lettre (Lettera critica) écrite pour défendre les écrivains camaldules qui avaient été mis en cause par Giusto Fontarini dans son « Library of Italian Eloquence ».
Puis, Dom Costadoni a collaboré pendant dix-huit ans avec Dom Giam Benedetto Mittaerlli, un savant qui a publié, au monastère « Annales Camaldulenses ordinis S. Benedicti, ab anno 907 ad annum 1770 » imprimé in-olia en 9 volumes, à Venise, de 1755 à 1773.
Certains de ses écrits relatifs à l'archéologie chrétienne, comprenant « Dissertazione sopra il pesce como simbole degli antichi christiani » ont été publiées dans la volumineuse collection d'essais historiques éditée par Calogerà, un autre éminent moine camaldule.
Les autres travaux considérés comme remarquables, de Dom Anselmo Costadoni sont « Avvisi ed istruzioni pratiche intorno ai principali doveri de' regolari » « Lettere consolatorie » et « Lettere sopra questione teologiche ».
Des manuscrits inédits furent transférés, sur ordre de Fra Mauro Cappelari (futur pape Grégoire XVI) au monastère de Saint-Grégoire, à Rome, après la mort de Dom Costadoni, le 23 janvier 1785, à Venise.
Re: Le 23 janvier
23 janvier 1760
Mort à Venise du peintre Giovanni Antonio Guardi, né à Venise en 1698 et fils du peintre Domenico Guardi.
À la mort du père, étant l'aîné, il prend la direction de l'atelier et dirige ses frères, Nicolo Guardi et Francesco Guardi.
Ils collaborèrent ensemble à la réalisation de plusieurs œuvres à caractère religieux.
Son style, à effets décoratifs, révèle l’influence de Giovanni Battista Piazzetta par ses couleurs lumineuses et celle de Sebastiano Ricci dans la fine technique du trait.
Mort à Venise du peintre Giovanni Antonio Guardi, né à Venise en 1698 et fils du peintre Domenico Guardi.
À la mort du père, étant l'aîné, il prend la direction de l'atelier et dirige ses frères, Nicolo Guardi et Francesco Guardi.
Ils collaborèrent ensemble à la réalisation de plusieurs œuvres à caractère religieux.
Son style, à effets décoratifs, révèle l’influence de Giovanni Battista Piazzetta par ses couleurs lumineuses et celle de Sebastiano Ricci dans la fine technique du trait.
Martine 1968- Messages : 434
Date d'inscription : 31/10/2012
Age : 56
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Re: Le 23 janvier
23 janvier 1869
Naissance à Venise du compositeur pianiste et chef d'orchestre Carlo Felice Boghen, mort à Firenze le 22 janvier 1945.
considéré comme l'un des plus grands pianistes de la première 900 Italien, arrivé à Carrare, avant de s'installer définitivement à Florence.
Il enseigna l'harmonie et le solfège au Conservatoire "Luigi Chérubini" de Florence.
En février 1903 il est nommé maître de la fanfare musicale de Pallanza "à la suite de sa relation avec les éminents maîtres Umberto Giodano et Amintore Galli".
Dans ses études, il a examiné en détail l'origine, l'histoire, en soulignant les innovations qu'il a introduites dans tous les domaines de la ville de musique, avec une tentative d'éduquer le provincialisme.
Naissance à Venise du compositeur pianiste et chef d'orchestre Carlo Felice Boghen, mort à Firenze le 22 janvier 1945.
considéré comme l'un des plus grands pianistes de la première 900 Italien, arrivé à Carrare, avant de s'installer définitivement à Florence.
Il enseigna l'harmonie et le solfège au Conservatoire "Luigi Chérubini" de Florence.
En février 1903 il est nommé maître de la fanfare musicale de Pallanza "à la suite de sa relation avec les éminents maîtres Umberto Giodano et Amintore Galli".
Dans ses études, il a examiné en détail l'origine, l'histoire, en soulignant les innovations qu'il a introduites dans tous les domaines de la ville de musique, avec une tentative d'éduquer le provincialisme.
Martine 1968- Messages : 434
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Localisation : Région parisienne
Re: Le 23 janvier
23 Janvier 1949
Mort à Santa Fe en Argentine, de Maria Tarnowskaya (Мария Тарновская )
1910 : la comtesse russe Maria Tarnowska est arrêtée et poursuivie en justice à Venise pour meurtre. "Elle n'a pas encore trente ans mais pas moins de six hommes se sont ruinés pour elle ; deux sont morts tragiquement et quatre ont abandonné femmes et enfants". Ainsi parlent d'elle les journaux de l'époque pendant le procès qui implique et passione l'opinion publique italienne comme jamais cela n'était arrivé.
Mort à Santa Fe en Argentine, de Maria Tarnowskaya (Мария Тарновская )
1910 : la comtesse russe Maria Tarnowska est arrêtée et poursuivie en justice à Venise pour meurtre. "Elle n'a pas encore trente ans mais pas moins de six hommes se sont ruinés pour elle ; deux sont morts tragiquement et quatre ont abandonné femmes et enfants". Ainsi parlent d'elle les journaux de l'époque pendant le procès qui implique et passione l'opinion publique italienne comme jamais cela n'était arrivé.
Patriciaa494- Messages : 364
Date d'inscription : 27/10/2012
Age : 45
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